Les conditions dans lesquelles la justice est rendue, dans la capitale du Sine, ne sont pas des meilleures. A cela est venue s’ajouter la survenue d’un court-circuit qui, depuis le jeudi 4 novembre, a plongé le Tribunal de grande instance dans le noir. Du coup, l’institution se retrouve dans une certaine paralysie avec la plupart du travail qui se fait désormais à la main. Une situation qui repose sur la table la question de la construction, à Fatick, d’un Palais de justice digne de ce nom. Les autorités sont interpellées.