Enlisé dans la guerre au Sahara occidental qui vient de reprendre, le 14 novembre, avec la rupture du cessez-le-feu signé en 1991 avec le Front Polisario, le Maroc manque d’effectifs. Ses 175 000 soldats actifs et les 150 000 réservistes ne suffisent pas à défendre son territoire et à sécuriser le mur de sable de 2700 km qu’il a érigé pour se protéger des attaques du Polisario.
Le Maroc s’est d’ailleurs retiré, en 2018, de la coalition arabe engagée au Yémen, afin de renforcer ses troupes au Sahara occidental. Selon « El Espanol », le Maroc va procéder à la naturalisation des migrants subsahariens afin de les incorporer dans son armée.
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