Cependant, lorsque le juge lui demande pourquoi elle n’a pas remis aux enquêteurs sa culotte qui aurait été tâchée de sang et de sperme, A. Thiaw répond qu’elle les avait lavés après les faits. Selon L’Observateur qui donne l’information, le juge a relevé quelques éléments qui pourraient bétonner la défense de Sitor Ndour.
En effet, les examens de chirologie (pour détecter des traces de violence sur les mains) et les tests pour retrouver de traces de sperme sur le sexe victime présumée sont négatifs. En plus, les enquêteurs affirment n’avoir trouvé ni trace de sang ni trace de sperme sur le drap du viol présumé. Sans compter que les médecins ont noté chez la plaignante une défloration ancienne de l’hymen.
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