Suffisant pour soulever l’ire des enseignants de l’Université qui disent rester unanimement solidaires du collègue. Comme si cela ne suffisait, dans un communiqué envoyé à notre rédaction, le département de sociologie parle du clanisme. « Il y a du clanisme ; comment nous recrutons les gens, comment ils sont promus …Il y a des gens qui font le pied de grue pour être promus a des postes et après ils ne font rien », pestent ces enseignants qui exigent « que l’on arrête de gérer cette université avec légèreté et avec régionalisme ».