En effet, la procureure après la plaidoirie de la partie civile, soutenait que les éléments factuels et les dispositions légales attestent de la culpabilité de l’accusé. L’autre élément de preuve est que le médecin qui a apposé sa signature sur le certificat médical qui aurait disculpé Sitor Ndour, n’a pas consulté la plaignante A.D. Mais plutôt un autre qui d’ailleurs n’est pas habilité à le faire.