C’est un Lamine Diack impérial accompagné de son avocat Me Moussa Sarr qui est arrivé au Tribunal de Grande Instance de Paris pour faire à ses juges. Malgré le « harcèlement » de la presse française, l’ancien président de l’IAAF est resté imperturbable et prononcera juste ces quelques mots : « J’ai une très mauvaise audition (…) un état de santé assez compliqué (…) mais je suis là », a lancé en préambule, debout à la barre, l’homme aux cheveux blancs, lunettes fixées sur le nez à l’aide d’un épais élastique.
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