lundi, 25 novembre 2024 08:22

« Je les ai bien baisés ! » : Emmanuel Macron et ses écarts de langage qui surprennent dans l’intimité

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Si Emmanuel Macron aime à employer des formules désuètes lors de ses allocutions télévisées, dans l’intimité, le président userait volontiers d’un vocabulaire « scabreux » notamment après des entrevues avec des chefs d’état, africains pour la plupart. Des écarts de langage qui ont surpris nombre de conseillers, comme le révèlent Ava Djamshidi et Nathalie Schuck dans l’ouvrage Madame la présidente.

Dire que le Président français n’a point d’estime pour certains chefs d’état africains relève de l’euphémisme. Se confiant régulièrement à ses conseillers après des audiences ou visites de certains chefs d’état africains qui pour la plupart, pourraient être son géniteur, Emmanuel Macron use d’un vocabulaire de rue qui frise l’indécence devant ses conseillers, comme le révèlent les auteurs du livre « Madame la présidente ».

« Poudre de perlimpinpin », « croquignolesque », « galimatias », ou encore, « captatio benevolentiae »… Emmanuel Macron n’est jamais à court d’expressions tarabiscotées. Passionné de littérature, le président aime à remettre au goût du jour la richesse de la langue de Molière. Mais dans l’intimité, l’époux de Brigitte Macron tombe la veste, comme le révélent les journalistes Ava Djamshidi et Nathalie Schuck dans l’ouvrage Madame la présidente.

« En très petit comité, le locataire de l’Élysée déploie un vocabulaire très sexué, pour ne pas dire scabreux », notent-elles, précisant que  « maints conseillers ont sursauté en l’entendant tonitruer, au sortir d’une audience ou d’une victoire sur des adversaires politiques : « Je les ai bien baisés ! Je leur ai mis profond ! » Un champ lexical fortement connoté qui étonne tant l’ex-énarque nous a habitué à des mots compliqués.

Emmanuel Macron « n’est pas le gendre idéal, loin de là »

Mais à en croire son entourage, en privé, Emmanuel Macron, loin de Jupiter qui lui colle à la peau, pourrait se montrer très décontracté, voire cru. « Ce n’est pas le gendre idéal, loin de là. C’est un mauvais garçon », confiait un élu de premier ordre dans les colonnes du Parisien. « Il a un vocabulaire sexuel, très vert », confirmait par ailleurs un conseiller. Et un proche de s’amuser : « Il parle tout le temps comme ça, surtout après certaines rencontres, quand on dîne avec lui, dans l’intimité (…) On le dit très méprisant, arrogant, hautain, mais ce n’est pas lui. Là, c’est l’Emmanuel que je connais »

Source : Gala

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